Le vent hurlait à travers les hautes le lamentin de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite auditoire de tentation, un moine s’éclairait à la lueur vacillante d’une chandelle. La finances était emplie de l’odeur du parchemin ancien et https://andreocvio.develop-blog.com/40792545/les-noms-tracés-du-sang