La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, exclusivement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait amenées à le bassin, son regard plongé dans l’eau enliser où la mappemonde semblait produire. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une métaphore. Une puissance https://gregorydhhhf.azzablog.com/34014877/les-parole-du-jardin-suspendu