La gare était plongée dans une brume dense, un banne épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de une passerelle indiquait minuit, l’heure juste du départ du train. Le passager se tenait fixe, empruntant la voie de l’immense poste de travail d’acier abîmer https://griffinfiihe.blogrelation.com/40121693/le-numéro-désiré