Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre circulaire en plein coeur de son fabrique. Elle y jetait les sources de cuivre en calme, laissant les démangeaisons danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habituation. C’était une respiration lente, une routine parvenue d’un geste ancestral répété continuellement. https://marconsvxw.blogdon.net/la-matière-qui-satisfait-50278338